EDIT: comme j'ai fait un edit sur le chapitre, il a fallu que je sacrifie la dernière partie que vous retrouverez donc dans le prochain chapitre

Et voilà la conclusion du contrat de Sylou *3*
On entre dans le vif du sujet, là, mon assassin préféré est à une croisée de sa destinée, plus rien ne sera comme avant!
Ca reste un chapitre assez bavard qui fait le pendant avec la succession de combats qui ont eu lieu. Mais c'est surtout un tournant radical à partir duquel les événements vont se précipiter

-Les Varens sont donc des métamorphes, ils ont simplement besoin de voir/entendre une cible pour totalement la copier, prenant leurs intonations, leurs attitudes. Si en plus ils l'ont observé suffisamment longtemps, ils s'approprient facilement leur psychologie. Et il y a des mâles et des femelles mais leur sexe n'a aucune influence sur leur don.
-L'oradiome et un désinfectant et un antiseptique, la laudrianne un psychotrope antalgique très addictif
-Les moeche fritte est un plat traditionnel italien
-à cette époque le café est encore très rare et très cher, c'est un mets de luxe.


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Vraiment une très bonne raison, puisqu'il renchérit immédiatement:
"Ce fumier nous a donnés, Vaclav!"
L'assassin adressa un rapide coup d’œil aux hommes avec lesquels il s'entretenait; respectueusement, ceux-ci s'apprêtaient à quitter son bureau lorsque celui qui les avait interrompu retint le plus âgé par le bras.
"Oh non, ne les congédie pas, tu vas avoir besoin de leurs services.
-Nethel, tu vas te décider à me dire ce qui se passe clairement oui ou non ?
-Ce fils de pute nous a vendus!"
Levant les yeux au ciel, Vaclav soupira lourdement. Bouche tordue en un rictus désabusé, il darda un regard noir sur son second.
"Dernière chance.
-Le petit protégé de Marek, cet enfoiré de Demi-Elfe... Il est allé nous balancer aux Calorghese!"
Cette fois-ci, les yeux de son supérieur se mirent à luire d'une fureur incontrôlable. D'une vo
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Quand on lui retira enfin son bandeau, Sylven mit un moment avant de s'habituer à la lumière dispensée par la vingtaine de bougies illuminant le bureau de Vaclav; celui-ci possédait également une orbe de feu d'argent dont l'éclat blanchâtre agressait les yeux du Demi-Elfe après ces trop longues heures passées dans l'obscurité.
Il s'était soumis à cette injonction humiliante bon gré, mal gré, la désapprouvant fondamentalement; en sus de sa défiance instinctive et du risque encouru, il aurait ainsi nettement marqué son ascendant sur le chef des Lames, lui imposant la réussite de sa mission tout en édictant ses modalités. Néanmoins, le "ce point ne souffre aucune contestation" sarcastique asséné par l'homme des Lames l'avait persuadé de ne pas rechigner. Il était présentement seul contre l'ensemble d'une guilde dévouée à son sup